HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 4293

— Bon, a dit Adolphe, entre, Lambo!

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— D’accord, a répondu Lambo en poussant la porte pour entrer dans la chambre. En constatant qu’Adolphe était en train de faire les bagages, il a demandé d’un air surpris:

– M. Adolphe, où allez-vous ?

Adolphe a répondu en regardant Lambo:

– Lambo, je dois probablement rentrer à la Cité G, après mon départ, tu prendras en charge cette boutique. Tu as bien appris le savoir-faire, du coup ta vie ne sera pas trop difficile si tu exploites bien ce restaurant.

Lambo a demandé avec étonnement:

– M. Adolphe, pourquoi…vous…pourquoi vous rentrez à la Cité G ? Margot va vous tuer…

Adolphe a esquissé un léger sourire :

– Je me rendais aux États-Unis clandestinement, donc je suis sans-papiers, puisque les policiers m’ont pris pour cible, ils vont bientôt me rapatrier, je n’ai pas d’autre choix même si je ne veux pas quitter.

Lambo a tout de suite dit:

-M. Adolphe, vous ne pouvez pas attendre pour être rapatrié ! Ou bien vous pouvez quitter New York pour vous cacher !

Non, a dit Adolphe calmement en secouant la main, je suis fatigué après une vingtaine d’années de cache, si je continue de me cacher comme ça, je me dédaignerai.

Sur ces mots il s’est tourné vers Lambo en disant sérieusement:

– Lambo, je veux toujours me rentrer mais je n’arrivais jamais à ramasser mon courage, maintenant je peux profiter de cette chance pour faire la décision.

Lambo a dit avec nervosité:

1. Adolphe, la sécurité de votre vie peut être garantie si vous vous cachez! Si Margot ne vous épargne pas, vous risquerez de mourir !

Adolphe a dit en souriant :

– Il doit attendre une chance propice même s’il veut me tuer, il ne pourra pas me tuer à la douane quand je serai rapatrié. De plus, puisque je serai rapatrié, le personnel de la douane doit suivre les formalités, Margot n’oserai jamais me porter atteinte à la douane même s’il est puissant. Ainsi, je pourrai appeler mes proches en avance pour qu’ils se rendent à la douane pour me rejoindre. Si je peux voir mes proches, je n’aurai aucun regret même si je serai tué par lui tout de suite.

Sur ces mots, Adolphe a esquissé un léger sourire avant de dire:

– Lambo, ce n’est pas la peine de me dissuader, j’ai mes propres décisions exploite bien le restaurant, pour le reste, ne t’inquiète pas pour moi. Lambo a sangloté avec les yeux rougis:

– M. Adolphe, je ne veux pas ce restaurant, je veux juste travailler pour vous en tant que serveur…

Lambo éprouvait une profonde affection pour Adolphe.

Il était originaire du Pays C, ses parents se rendaient en Thailande pour faire des affaires mais ils avaient rencontré des bouleversements. Du coup, les parents de Lambo l’emmenaient pour se rendre aux États-Unis clandestinement pour y vivre.

Mais le bateau transportant les immigrés clandestins avait coulé en heurtant un récif sur la côte atlantique. Il y avait des dizaines d’immigrés clandestins sur le bateau et la moitié d’entre eux étaient morts: Ccontent © exclusive by Nô/vel(D)ra/ma.Org.

Les parents de Lambo étaient tous morts dans le naufrage, alors que Lambo flottait dans la mer pendant des heures en tenant une petite plaque, à la fin, les bateliers du Pays C l’avaient sauvé.

Les survivants du naufrage étaient tous les adolescents comme Lambo parce que leurs parents leur avaient donné les débris flottants. Alors que ces bateliers du Pays C étaient aussi les immigrés clandestins vers les États-Unis comme Adolphe, ils s’entraidaient dans la vie quotidienne et formaient un petit cercle d’amis.

Après avoir sauvé ces enfants et les avoir emmenés à New York, les bateliers du Pays C étaient réunis pour une discussion.

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